La mort qui me fascine
Vêtue de mon suaire
Je danse avec le mal
Au rythme de ma douleur
Je prends mon couteau de sa secrète place
Le coeur vide de tout remords
Il y a quelque chose qui m’éblouit
La symphonie des cris et des pleurs
Les prières de celui qui supplie
Les larmes entrent en grève
Au seuil de la démence
Et je viole mon sourire
Pour plaire à la mort
Qui me fascine
Amal Karouach